Actoria (Gouvernorat)
Ne doit pas être confondu avec le Royaume d’Actoria ou le continent.
| Devise | Le peuple avant le Roi |
|---|---|
| Continent | Actoria (Continent) |
| Pays limitrophe·s | Fichier:Säswił~Soldäł Drapeau.png Säswił~Soldäł Fichier:Dunwich Drapeau.png Dunwich Fichier:Étaoriane Drapeau.png Étaoriane Fichier:Pledwan Drapeau.png Pledwan |
| Statut | Gouvernorat éléctif |
|---|---|
| Capitale | |
| Premier dirigeant | Triumvirat des mers |
| Dernier dirigeant | Harald Kan |
| Gouvernance | Grand sénat |
| Langue·s officielles | Elnastorien (de Jure) Wallandais (de facto) |
| Monnaies | Laïre |
| Composition | Fichier:Arhemaria drapeau.png Arhemaria |
| Continent | Actoria (Continent) |
|---|---|
| Plus grande Ville | Eral-Kan |
| Ville·s principale·s | Eral-Kan Askanor Abram Osguillak Secar |
| Gentillé | Actorien·ne·s |
|---|---|
| Population | 2.740.000 âmes |
| 451VI | Découverte du continent par Céphal Aktor |
|---|---|
| 171XI | Engloutissement du continent |
| Entité·s précédente·s | Entité·s suivante·s | |
| Première alliance Reïliana Bezd Est Bezd Ouest Kierdie Schildender Touérènne |
Le Gouvernorat unifié d’Actoria (/əĸtʊˈɾɪæ/) était une république fédérale composée de neuf gouvernorats, occupant la majeure partie du continent d’Actoria, auquel elle donna son nom.
Sa capitale, Eral-Kan, constituait également le siège politique et militaire de l’unification. La langue officielle de l’État était l’elnastorien, mais la majorité de la population s’exprimait en wallandais. De nombreuses langues régionales subsistaient dans les différents gouvernorats.
Histoire[modifier | modifier le wikicode]
Avant la colonisation[modifier | modifier le wikicode]
Bien avant la découverte du continent par les navigateurs elnastoriens et wallandais, Actoria n’était pas une terre vierge, mais un territoire vaste et ancien, majoritairement recouvert de forêts primaires impénétrables, de massifs rocheux et de plaines morcelées par la magie.
Les Ælths de Säswił~Soldäł[modifier | modifier le wikicode]
Les Ælths, race sylvestre immortelle, constituaient la population dominante du sud et du centre du continent. Ils vivaient en symbiose avec la forêt de Säswił~Soldäł, qu’ils considéraient comme une entité consciente. Ils n’édifiaient ni villes ni routes : leurs cités étaient tissées de branches, leurs savoirs murmurés dans les feuilles, et leur culture se transmettait par le chant et la mémoire des arbres. Refusant toute expansion territoriale, ils maintenaient une stabilité millénaire fondée sur la réversibilité du temps, la non-ingérence et le refus de la domination.
Les Nains de Karan-An-Akto[modifier | modifier le wikicode]
Au nord du continent, au cœur de la chaîne des Karan-An-Akto, vivaient les Nains, peuple discret et reclus, organisé en lignées claniques. Ils avaient bâti des forteresses souterraines aux noms oubliés, forant les montagnes pour y extraire non seulement du minerai, mais aussi de la mémoire : chaque filon racontait une époque, chaque veine de pierre une tragédie. Leur art de la forge, de l’horlogerie et de l’architecture résonnait sous terre depuis des millénaires, sans jamais franchir les cols.
Autres présences notables[modifier | modifier le wikicode]
- Au-delà des montagnes d’Anthracite, on mentionne dans les chants nains des tribus orques primitives, organisées en clans chamaniques et en confréries guerrières, vivant en retrait mais parfois perçues comme une menace lors des grands équinoxes.
- Certains récits ælths font état de formes de vie non humanoïdes, particulièrement dans les marais salés de l’ouest ou les lacs des plateaux du sud : des êtres-fantômes, échos magiques d’une époque antérieure au vivant.
Découverte du continent[modifier | modifier le wikicode]
Le continent d’Actoria fut officiellement découvert le 1er mars 1566 IX par l’explorateur Alaric Méloris, missionné par l’Empire wallandais pour entreprendre l’expansion vers l’ouest. Il était accompagné de Céphal Kan, superviseur militaire, et de Wollfram von Arhemaria, navigateur elnastorien.
D’après les journaux de bord, la côte orientale fut baptisée Schönhauch et servit de point d’ancrage à l’expédition. L’intérieur du continent, largement recouvert de forêts et de massifs montagneux, fut lentement exploré à partir de cette base.
Premiers établissements coloniaux et tensions initiales[modifier | modifier le wikicode]
L’expédition dirigée par Alaric Aktor, initialement destinée à atteindre les côtes de Ka’r Droûst, fut déviée de sa trajectoire par une série de tempêtes prolongées, forçant les navires à dériver bien plus au nord-ouest que prévu. Ils accostèrent finalement sur une côte inconnue, à l’est d’un massif montagneux infranchissable.
Convaincus d’avoir découvert une terre encore inexplorée, les colons fondèrent les premières installations permanentes au-delà des montagnes, dans une région couverte de forêts anciennes. Ces implantations marquèrent le début de la présence humaine sur le continent d’Actoria.
Pendant les premières années, les colons — appelés alors Æstes dans les chroniques locales — ne rencontrèrent aucune opposition. Les Ælths, peuple sylvestre vivant dans la forêt de Säswił~Soldäł, observaient les nouveaux venus sans se manifester.
Guerre sylvestre[modifier | modifier le wikicode]
La Guerre sylvestre est un conflit opposant les colons Æstes, récemment installés sur le continent d’Actoria, au peuple autochtone des Ælths, gardiens de la forêt de Säswił~Soldäł. Le conflit trouve son origine dans la violation d’un accord tacite passé entre les deux peuples, selon lequel les humains s’engageaient à ne couper que le bois mort. Lorsque plusieurs compagnies coloniales ignorèrent cet engagement, les tensions s’aggravèrent jusqu’au lynchage d’un jeune Ælth, suivi d’une représaille équivalente par les Elfes. Ce cycle de violences marqua le début des hostilités ouvertes.
La guerre éclata réellement après qu’un poste colonial sudiste incendia une portion de la forêt, provoquant une réponse sans précédent : les Ælths, historiquement pacifiques, formèrent pour la première fois une armée organisée, l’Armée de la Frondaison, pour défendre leur sanctuaire. Les combats, marqués par des embuscades, des destructions ciblées et une profonde asymétrie stratégique, plongèrent le sud-est du continent dans trois années d’instabilité. Les Æstes envisagèrent même une stratégie de déforestation totale pour affamer les Elfes, ce qui faillit déclencher une guerre d’ampleur bien plus grande.
Face à l’escalade, les Nains de Karan-An-Akto, jusque-là neutres, intervinrent diplomatiquement, menaçant d’entrer en guerre si les incendies se poursuivaient. Leur mise en garde mit un terme à la stratégie de la terre brûlée. Aucun traité ne fut signé, mais une trêve implicite fut acceptée par les deux camps : les Æstes gardèrent leurs terres bâties, et jurèrent de ne jamais plus pénétrer la forêt ; les Ælths, de leur côté, se retirèrent totalement des affaires humaines. Ce conflit marqua une rupture durable dans les relations entre peuples d’Actoria, et jeta les bases des identités territoriales et des méfiances mutuelles qui influencèrent la politique continentale pendant plusieurs siècles.
Après la guerre : partages et fondations locales[modifier | modifier le wikicode]
La fin de la Guerre sylvestre ne marque pas immédiatement l’unification des colons humains, mais l’entrée dans une phase de consolidation territoriale. Les chefs de l’expédition initiale, considérés comme fondateurs de la présence humaine sur Actoria, furent récompensés par des terres et établis comme seigneurs ou gouverneurs de facto de vastes régions.

Attribution des territoires[modifier | modifier le wikicode]
- Alaric Aktor, meneur de l’expédition, reçut le sud-est du continent, incluant la baie de Schönhauch et les plaines côtières colonisées les premières. Ce territoire, fertile et ouvert sur la mer, devint rapidement le plus densément peuplé et le plus commercialement actif.
- Céphal Kan, ancien chef militaire de l’expédition et figure populaire des campagnes sylvestres, se vit offrir une montagne inhabitée à l’est, où il fonda une forteresse-refuge qui deviendrait plus tard un haut lieu de rassemblement politique. Ce lieu servit d’abord de retraite, puis de centre de réflexion militaire et diplomatique.
- Wollfram von Krugburg, navigateur elnastorien et cartographe en chef, reçut le nord-est, une région plus difficile d’accès, mais stratégique pour la navigation fluviale et la surveillance des cols menant aux terres naines. Il y développa un réseau de villes-forteresses fondées sur des principes elnastoriens de droit et de discipline.
Morcellement initial[modifier | modifier le wikicode]

Durant cette période, les colons vivaient sous un régime semi-autonome, chaque chef appliquant ses lois, fondant ses villes et gérant ses relations avec les peuples autochtones selon ses convictions. Il n’existait alors ni monnaie commune, ni armée fédérale, ni même de langue administrative unique : le wallandais dominait au sud, l’elnastorien au nord-est, et les cultures locales se développaient de manière divergente.
Ce morcellement politique et culturel, s’il offrait aux colons une relative liberté, laissait le jeune peuple æste vulnérable aux tensions internes, aux pressions extérieures, et à l’absence de représentation continentale unifiée.
Expansion coloniale et rivalités interimpériales[modifier | modifier le wikicode]

L’essor des trois colonies actoriennes apporta un regain économique aux métropoles d’origine, notamment par l’exportation de ressources précieuses issues du sud-est du continent. Bien que l’exploitation d’Actoria fût initialement menée sous mandat wallandais partagé, Elnastor rompit progressivement cet équilibre, soutenant en secret de nouvelles expéditions vers la façade ouest pour y fonder des enclaves échappant au contrôle de Walland. La tension croissante culmina en 1569 IX dans un conflit ouvert sur le continent de Ringald, où une série d’incidents commerciaux mena à la Guerre des deux Aigles. Pendant un an, le lion rouge de Walland affronta l’aigle noir d’Elnastor dans les plaines de Vardemberg et les forteresses rhénianes, sans qu’aucun camp ne parvienne à une victoire décisive. L’armistice de Krünstadt, conclu sans résoudre la question actorienne, mit fin aux hostilités mais consacra une fracture durable entre les deux puissances. Walland, s’estimant moralement victorieux, inonda ses villes de propagande héraldique, dont les plus célèbres représentations montrent le lion terrassant l’aigle, symbole encore visible aujourd’hui sur plusieurs monuments.
Pressions sur les colonies et exactions[modifier | modifier le wikicode]

Pendant la Guerre des deux bêtes sur le continent de Ringald, les deux puissances impériales — Walland et Elnastor — imposèrent de lourdes exigences à leurs colonies actoriennes. Chaque métropole ordonna à ses protégés de cesser tout commerce avec l’autre camp et de réserver l’intégralité de leurs ressources stratégiques (bois rares, minerais, denrées, artefacts) à l’effort de guerre de leur propre faction. Des menaces directes de représailles, y compris la suspension de la protection militaire et le retrait de privilèges, furent adressées aux gouverneurs coloniaux qui ne se pliaient pas strictement à ces ordres.
Ce climat de contrainte provoqua de vives tensions internes sur le continent d’Actoria. Les colons, partagés entre deux puissances légitimes à leurs yeux, se trouvèrent plongés dans un dilemme insoluble : soutenir Walland, la puissance tutélaire initiale, ou Elnastor, leur alliée de fait à travers l’influence croissante de ses enclaves occidentales. Cette ambivalence mena à de nombreux actes de violence, sabotages, arrestations et purges locales, parfois entre colons eux-mêmes, parfois contre les minorités perçues comme pro-elnastoriennes ou pro-wallandaises.
Ces exactions, cumulées à la perception d’un abandonnement stratégique par les métropoles, renforcèrent l’idée, d’abord marginale, qu’Actoria devait cesser d’être un théâtre lointain de domination étrangère pour devenir une entité politique autonome, capable de parler d’une seule voix.
La course à la colonisation et la guerre maritime[modifier | modifier le wikicode]

À la suite de la Guerre des Deux Aigles et de la fragmentation croissante du continent, une véritable course à la colonisation s’engagea entre Walland et Elnastor. À cette rivalité s’ajouta bientôt Cédoyïn, puissance navale émergente, qui entra dans la compétition territoriale en revendiquant plusieurs îles et criques au sud ouest du continent actorien. Les tensions débouchèrent sur une guerre maritime non déclarée, marquée par des blocus, abordages et raids sur les convois de colons.
Dans les zones non encore contrôlées à l’ouest et au sud d’Actoria, les colons de la seconde vague d’expédition — Wallandais, Elnastoriens, et Cédoyïniens — s’affrontèrent violemment lors des débarquements et des implantations. Pendant près de sept ans, de véritables escarmouches éclatèrent sur les plages et estuaires de la côte sud-ouest. Ces conflits, parfois relayés par des pirates ou des mercenaires de l’une ou l’autre puissance, donnèrent naissance à des enclaves fortifiées concurrentes, coupées de toute coordination centrale.
Retour à la stabilité dans les trois colonies fondatrices[modifier | modifier le wikicode]
À l’inverse, les trois colonies fondatrices retrouvèrent peu à peu un équilibre local. Fortes de près de deux siècles de développement autonome, elles avaient consolidé leurs structures administratives, leurs frontières, et leurs relations avec les peuples autochtones. Bien qu’encore rattachées symboliquement aux métropoles d’origine, elles fonctionnaient de facto comme petits États indépendants, disposant de leurs propres armées, monnaies, et systèmes de lois.
Au bout de 199 ans d’existence coloniale, la question de leur statut définitif se posa avec acuité : fallait-il les rattacher officiellement à Walland ou à Elnastor, ou risquer qu’elles ne deviennent des puissances rivales elles-mêmes ? Afin d’éviter tout affrontement direct, les deux couronnes décidèrent d’unir leurs prétentions à travers un mariage dynastique. Un prince wallandais, issu de la Maison d’Yreval, fut fiancé à une princesse elnastorienne de la lignée impériale de Solmengrün. Cette union politique fut pensée comme un geste de réconciliation, permettant d’accorder aux trois colonies le statut de domaine conjugal unifié, gouverné sous une autorité partagée et neutre.
Ce mariage fonda de fait le socle institutionnel du futur Gouvernorat unifié d’Actoria, même si celui-ci ne porterait ce nom que plusieurs décennies plus tard.
Fondation du Royaume d’Actoria[modifier | modifier le wikicode]
Le mariage diplomatique entre un prince d’Elnastor, issu de la maison d’Yreval, et une princesse de Walland, appartenant à la prestigieuse maison de Solmengrün, marqua la fin des tensions entre les grandes puissances coloniales. Ce mariage n’était pas seulement symbolique : il donna naissance à un nouvel ordre politique, avec la fondation du Royaume d’Actoria.
Les époux renoncèrent à leurs titres dynastiques d’origine pour adopter un nom nouveau, en hommage à la terre sur laquelle ils allaient régner. Ainsi fut fondée la dynastie royale d’Actoria, installée à Eral-Kan, désormais élevée au rang de capitale royale. L’union fut célébrée sur tout le continent comme le « Pacte du Sang Double ».
Le couple royal initia une période de stabilité millénaire, jamais égalée depuis. Le Roi d’Actoria, frère de l’Empereur d’Elnastor, et la Reine d’Actoria, sœur du Roi de Walland, formèrent le centre d’un réseau d’alliances fondées sur la fraternité et la réciprocité dynastique. Grâce à leur médiation permanente, Actoria s’affirma comme un royaume neutre, prospère, et influent, garant de la paix entre les puissances de Ringald pendant près d’un millénaire.
Évolution des colonies et nations d’Actoria[modifier | modifier le wikicode]
La découverte du continent est datée au 1 mars 1566IX par Alaric Aktor, alors sous mandat impérial pour l’expansion Wallandaise. Accompagné par deux explorateurs : Céphal Kan, superviseur miliataire de la mission et Wollfram Von Krugburg, navigateur Elnastorien.

Selon les journaux des membres d'expédition, le continent se compose essentiellement de forêts et de montagnes avec peu de plaines.
La mission s'installa sur la côte est, baptisée Schönhauch, et ne commença l'exploration.
Le continent est à l’origine peuplé d’Æstes divisés par tribus mais aussi de nombreux Ælths résidents principalement dans la forêt de Säswił~Soldäł tandis que les Nains demeurent au Nord au cœur des montagnes d’Anthracites. Au-delà des montagnes vivent les tribus Orcs.
L’histoire de l’Actoria remonte à plus de XXX ans. C’était une époque sombre, ou des Aestes vivaient reclus sous forme de clan, chacun de ces clans vivant dans l’autarcie la plus parfaite et ne désirant rien avoir à faire avec les gens des montagnes ou les êtres-fantômes. C’est à cette période que les premières incursions du Chaos se révélèrent au grand jour et menacèrent les peuples. Bien décidés à repousser les ennemis de leurs terres, les Clans décidèrent de s’unifier. Plus les clans s'agrandissaient, plus leurs ennemis devenaient forts et nombreux. C’est alors que Cephal Kan apparu, il venait d’au-delà des mers et mesurait près de 6 pieds de haut. Il se présenta aux maîtres des clans comme leur sauveur, lui et ses 50 guerriers venant d’un pays par-delà les mers. Il entreprit d’aller au-delà des montagnes avec ses plus fidèles compagnons où il y trouva des alliés d’une taille bien inférieure à celle d’un Æstes et doté d'une barbe tombant en dessous de sa taille. Avec une volonté et une maîtrise de la hache telle qu’aucun Aestes ne pourrait espérer rivaliser, ces petits-êtres se nommaient eux-mêmes les ***. Il se dirigea plus à l’est, pour finalement arriver dans une immense forêt de deux fois la longueur des montagnes pour y trouver des Elfes, créatures qu’il connaissait bien pour les avoir côtoyés. Tous ensembles, ils se dirigèrent vers l’ouest du pays et jurèrent que si les Dieux du Chaos voulaient ce pays, ils devraient faire le déplacement eux même pour espérer briser la première grande alliance.
C’est après 9 ans de batailles acharnées que le pays fut à nouveau pur de toute abomination. Cephal Kan fut nommé chef d’un royaume nouvellement délimité, jusqu’aux montagnes grises, là où commence le royaume des Nains, jusqu'à la grande rivière à l’Est, là où commence le pays des Elfes des Bois et jusque là ou l’Océan.
Toponomie[modifier | modifier le wikicode]
Le continent fut découvert en l’an XX.XX.XX.XXXX par Alaric Aktor, sous mandat impérial pour l’expansion Wallandaise. Accompagné par deux des plus éminents explorateur de Ringald : Céphal Kan et Wollfram Von Krugburg.
Le continent est à l’origine peuplé d’Æstes divisés par tribus mais aussi de nombreux Älths résidents principalement dans la forêt de Säswił~Soldäł tandis que les Nains demeurent au Nord au cœur des montagnes d’Anthracites. Au-delà des montagnes vivent les tribus Orcs.
L’histoire de l’Actoria remonte à plus de XXX ans. C’était une époque sombre, ou des Aestes vivaient reclus sous forme de clan, chacun de ces clans vivant dans l’autarcie la plus parfaite et ne désirant rien avoir à faire avec les gens des montagnes ou les êtres-fantômes. C’est à cette période que les premières incursions du Chaos se révélèrent au grand jour et menacèrent les peuples. Bien décidés à repousser les ennemis de leurs terres, les Clans décidèrent de s’unifier. Plus les clans s'agrandissaient, plus leurs ennemis devenaient forts et nombreux. C’est alors que Cephal Kan apparu, il venait d’au-delà des mers et mesurait près de 6 pieds de haut. Il se présenta aux maîtres des clans comme leur sauveur, lui et ses 50 guerriers venant d’un pays par delà les mers. Il entreprit d’aller au delà des montagnes avec ses plus fidèles compagnons où Il y trouva des alliés d’une taille bien inférieure à celle d’un Aestes et doté d'une barbe tombant en dessous de sa taille. Avec une volonté et une maîtrise de la hache telle qu’aucun Aestes ne pourrait espérer rivaliser ces petits-êtres se nommaient eux même les ***. Il se dirigea plus à l’Est, pour finalement arriver dans une immense forêt de deux fois la longueur des montagnes pour y trouver des Elfes, créatures qu’il connaissait bien pour les avoir côtoyer. Tous ensemble, ils se dirigèrent vers l’Ouest du pays et jurèrent que si les Dieux du Chaos voulaient ce pays, ils devraient faire le déplacement eux même pour espérer briser la première grande alliance.
C’est après 9 ans de batailles acharnées que le pays fut à nouveau pur de toute abomination. Cephal Kan fut nommé chef d’un royaume nouvellement délimité, jusqu’aux montagnes grises, là où commence le royaume des Nains, jusqu'à la grande rivière à l’Est, là où commence le pays des Elfes des Bois et jusque là ou l’Océan.
Composition[modifier | modifier le wikicode]

Le continent est à l’origine peuplé d’Æstes divisés par tribus mais aussi de nombreux Ælths résidents principalement dans la forêt de Säswił~Soldäł tandis que les Nains demeurent au Nord au cœur des montagnes d’Anthracites. Au-delà des montagnes vivent les tribus Orcs.
L'unification[modifier | modifier le wikicode]
Les gouvernorats possèdent tous un chef d'Actoria. Azur pour les gouvernorats de l'alliance et d'or pour les gouvernorats annexés pendant la campagne d'unification.
De par leurs positionnements respectifs
L’histoire de l’Actoria remonte à plus de XXX ans. C’était une époque sombre, ou des Aestes vivaient reclus sous forme de clan, chacun de ces clans vivant dans l’autarcie la plus parfaite et ne désirant rien avoir à faire avec les gens des montagnes ou les êtres-fantômes. C’est à cette période que les premières incursions du Chaos se révélèrent au grand jour et menacèrent les peuples. Bien décidés à repousser les ennemis de leurs terres, les Clans décidèrent de s’unifier. Plus les clans s'agrandissaient, plus leurs ennemis devenaient forts et nombreux. C’est alors que Cephal Kan apparu, il venait d’au-delà des mers et mesurait près de 6 pieds de haut. Il se présenta aux maîtres des clans comme leur sauveur, lui et ses 50 guerriers venant d’un pays par delà les mers. Il entreprit d’aller au delà des montagnes avec ses plus fidèles compagnons où Il y trouva des alliés d’une taille bien inférieure à celle d’un Aestes et doté d'une barbe tombant en dessous de sa taille. Avec une volonté et une maîtrise de la hache telle qu’aucun Aestes ne pourrait espérer rivaliser ces petits-êtres se nommaient eux même les ***. Il se dirigea plus à l’Est, pour finalement arriver dans une immense forêt de deux fois la longueur des montagnes pour y trouver des Elfes, créatures qu’il connaissait bien pour les avoir côtoyer. Tous ensemble, ils se dirigèrent vers l’Ouest du pays et jurèrent que si les Dieux du Chaos voulaient ce pays, ils devraient faire le déplacement eux même pour espérer briser la première grande alliance.
C’est après 9 ans de batailles acharnées que le pays fut à nouveau pur de toute abomination. Cephal Kan fut nommé chef d’un royaume nouvellement délimité, jusqu’aux montagnes grises, là où commence le royaume des Nains, jusqu'à la grande rivière à l’Est, là où commence le pays des Elfes des Bois et jusque là ou l’Océan.





