Harald Kan

Harald Kan

Harald Kan

Famille	Kan
Naissance	31/05/336XI à Eral Kan
Origine	Actrorien
Décès	21/09/62XIII à Kel-Eghian à 187 ans

Père	Vengald Kan
Fratrie	Borald Kan
	Cerald Kan
	Imrald Kan
Conjoint·e·s	Aldwimn Myllähyll

Sexe	Masculin
Espèce	Æstes
Cheveux	Bruns ondulés
Yeux	Verts
Taille	1m85
Corpulence	85 kilos (carrure forte)
Signe·s distinctif·s	Nez cassé

Écu courroné Roi

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Harald Kan /ˈhæ.ræld kæn/, dit "le sage" est roi Actorien né le 31 mai 336XI à Eral-Kan, et mort le 21 octobre 62 à Kel-Eghian. Son règne fut marqué par la défaite de seconde grande guerre contre Sionku. 

Il laisse derrière lui un royaume prospère.

Biographie

Harald Kan est le second d'une fratrie de quatre enfants. Il fut nommé Capitaine intendant à l'âge de 27 ans. En tant que descendant de la dynastie Kan, il était prédisposé à tenir un rôle important au sein de la cour, mais son tempérament guerrier guida ses pas à l'école militaire très tôt.

Il fut guidé dans son apprentissage par le maître de sa famille : Maître Jlan Poeij-Puela. Un Cédoïyen maitrisant quelques arts encore méconnu. Très proche de ses frères, il perdit Borald son ainé à l'âge de 29 ans. C'est ce drame qui le conduisit à la quête dont l'aboutissement marqua la fin de la XIième ère et ainsi son couronnement à l'âge de 33 ans.

Jeunesse

Harald Kan est le second d'une fratrie de quatre enfants. Bien que cadet, il hérita du statut de "Prince électeur" quand son frère aîné, Borald s'engagea dans les ordres.

Harald Kan lors d'un entrainement chez les lanciers du XIième anneau

Il était un fin bretteur, maniant avec perfection l'épée dite "bâtarde", terme peu élogieux bien que choisis sur une caractéristique de ses lames. De plus, Harald affiche un air sûr et tendre qui lui vaudra amour et loyauté de la part de ses généraux et Capitaines. Il est un leader né, et fut le juste héritier de sa lignée. Etre qui fut digne pour voir son front orné de la couronne de ses ancêtres.

Aarald est connu de son peuple comme l'un des meilleurs Roi qui fut. Accompagné d'amis fidèles, il dirigea ses armées vers une victoire certaine à la fin du XII°âge qui entraina à la destruction de son continent. Il entreprit de reconstruire son pays grâce à une terre sur le continent de Rorhill à l'Ouest d'Actoria. Il renomma le pays Acteria en signe de continuité.

Au cours de la grande bataille du XII° âge. Aarald fut un des rares survivants parmi les amis qui l'accompagnèrent lors de la quête pour détruire "Henzeshaï", le Katana de Sionku. Il est également dis que c'est à cause d'une erreur d'incompétence que son unique amour, perdit la vie : Aldwimn Mylänwan. Ce faisant Aarald Kan ne sera jamais marié et affichera un air sombre emplit de tristesse jusqu'à son dernier soupir. Ce qui lui voudra pour surnom "Le Roi Triste" par son peuple.

Aarald Kan mourut à l'âge de 187 ans de maladie, officiellement père de Jonuald Kan. Ce dernier pris le trône laissé par son père en l'an 63 du XIII° âge. Cependant peut savent que Jonuald n'est autre que le fils de Cerald Kan. L'assemblée du peuple Actorienne, formée par l'aristocratie refusant le retour de l'intendant qui survient en cas de non-descendance directe, modifia papiers et acte de naissance pour octroyer à Jonuald Kan le droit à la couronne au profit de la maison Danor. Ainsi, l'image d'Aarald resta gravée à jamais dans le cœur des Acteriens grâce à un mensonge.

la reconquête du royaume

Le roi Alaric, descendant d'une ancienne lignée royale déchue, avait vu son pouvoir érodé au fil des siècles par l'instauration d'un gouvernement basé sur l'élection de princes électeurs. Ces derniers, choisis parmi les grandes familles nobles, détenaient le pouvoir de gouverner le royaume, reléguant la famille royale à un rôle essentiellement symbolique. Cependant, Alaric nourrissait depuis longtemps l'ambition de restaurer la monarchie absolue de ses ancêtres. Les tensions dans le royaume s’intensifièrent lorsqu’une guerre menaçante éclata aux frontières, et le Grand Intendant, chef des princes électeurs, choisit de ne pas intervenir militairement, préférant une approche diplomatique jugée trop timorée par de nombreux nobles.

Alaric, voyant là une opportunité de reprendre le pouvoir, ourdit un complot pour éliminer le Grand Intendant. Il s'assura du soutien de plusieurs nobles mécontents et de généraux influents, promettant de rétablir la grandeur du royaume sous une autorité royale forte. Une nuit fatidique, des assassins à la solde d'Alaric pénétrèrent dans le palais du Grand Intendant et massacrèrent non seulement ce dernier, mais aussi toute sa famille, éliminant ainsi toute possibilité de vengeance ou de contestation de son acte. Cet assassinat fut habilement déguisé en une attaque ennemie, justifiant ainsi une prise de pouvoir d’urgence par Alaric pour "sauver" le royaume.

Avec le Grand Intendant et sa famille hors de la scène politique, Alaric se présenta comme le seul capable de guider le royaume en ces temps de crise. Sous prétexte de la nécessité d'une réponse unifiée face aux menaces extérieures, il dissout le conseil des princes électeurs et se fit couronner roi, rétablissant ainsi l'autorité monarchique complète. Ceux qui s’opposèrent à cette prise de pouvoir furent rapidement réduits au silence, et Alaric régna désormais en tant que souverain absolu, ayant utilisé la trahison et le meurtre pour raviver la flamme d’un trône qui lui semblait de droit.

Le cataclysme

Au terme de la bataille de la plaine des cendres, un cataclysme s’abatti sur le continent Actorien.

Après un cataclysme dévastateur qui a frappé leur continent, le roi Alaric et son peuple ont été contraints de fuir leur terre natale devenue inhabitable en raison de violentes inondations. Leurs villes détruites et leurs terres submergées, ils ont navigué pendant des mois à la recherche d'un refuge. Leur quête désespérée a finalement trouvé une réponse dans l'offre généreuse du royaume de Targonia, une nation lointaine avec laquelle Alaric entretenait des relations amicales de longue date. Targonia leur a accordé une vaste province située à la frontière sud de leur territoire, un lieu fertile mais éloigné du cœur du royaume, où le peuple d'Alaric pourrait reconstruire sa vie.

Cependant, cette nouvelle terre d'accueil n'était pas déserte. Les habitants de la province, un peuple fier et indépendant, se sont rapidement opposés à la présence du roi Alaric et de son peuple. Refusant de se soumettre à un nouveau souverain étranger et à son autorité, les résidents locaux ont commencé à organiser une révolte. Leurs dirigeants ont réclamé l'autonomie et le maintien de leurs coutumes ancestrales, rejetant l'idée d'intégrer le royaume d'Alaric, désormais devenu une extension de Targonia. Les tensions ont rapidement dégénéré en affrontements violents, menaçant de plonger la région dans le chaos.

Confronté à cette crise, le roi Alaric a sollicité l'aide de Targonia, espérant que le royaume allié interviendrait pour pacifier la situation. Pourtant, les dirigeants targoniens ont adopté une position de non-ingérence, estimant que cette révolte relevait de la souveraineté du nouveau royaume d'Alaric. Ils ont donc laissé à ce dernier la tâche de mater la rébellion et de rétablir l'ordre par ses propres moyens. Alaric, bien que dévasté par la trahison apparente de ses nouveaux sujets, a dû mobiliser ses forces et entreprendre une campagne militaire difficile pour asseoir son autorité sur cette terre d'exil, confrontant son peuple à un nouvel épisode de luttes après le drame de leur exode.