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Hitaru-Ato

De Wikiquestia
Hitaru-Ato
帝国光太郎・後 (fr)
Hi-ta-ru A-to
Teikoku Hitarou Ato


Emblème

Mon du Kōtenshū

Empire sacré insulaire
Devise「桜の木は永遠に戻ってくる」
CréationInconnue (époque mythique)
ContinentZaerzd
Pays limitrophe·sAucun (archipel isolé)


Administration
StatutKōtenshū (Empire sacré)
CapitaleDzakyo
Premier dirigeantInconnu (premier Shinkami‑no‑Daishisha)
Dernier dirigeantInconnu (actuel, troisième Shinkami‑no‑Daishisha)
GouvernanceMonarchie théocratique
Langue·s officiellesHytalyen
MonnaiesAucune (économie autarcique)
Composition8 régions


Géographie
ContinentZaerzd
RégionEst de Zaerzd
FrontièresAucune frontière terrestre
Point le plus basNiveau de la mer
Mer / OcéanMer de Zaerzd
ClimatTempéré à quatre saisons équilibrées
Plus grande VilleDzakyo
Ville·s principale·sShijeto, Ejokai, Minarzu, Ayakitosimin, Ayando, Ohajo, Nimaseto, Oneda


Carte du Kōtenshū

Fichier:Hitaru-Ato 12.jpg
Carte politique des huit régions

Démographie
GentilléHitariens
Race·sÆlths (élites), esclaves
Population1 100 000 ælths libres ; ≈ 9 000 000 esclaves
Langues parléesHytalyen
ReligionsCulte de Néant
Groupes ethniquesÆlths, esclaves divers
RépartitionCapitale et huit régions


Histoire
InconnueArrivée des ælths sur l’archipel
257 ans plus tardUnification des clans par le premier Shinkami‑no‑Daishisha
Institution du Taigensha
Guerre civile de Xouil et submersion de l’isthme
Révolte des esclaves et isolement définitif
Création des huit régions

Langue et religion
Organisation politique
Hytalyen ; Culte de Néant
Empire sacré dirigé par le Shinkami‑no‑Daishisha, assisté du Taigensha et de onze ministres



Hitaru-Ato est un Kōtenshū, un empire sacré insulaire dirigé par un souverain portant le titre de Shinkami-no-Daishisha (Grand Messager des Dieux Sacrés). Situé à l'est du continent de Zaerzd, il est composé exclusivement d'ælths, et protégé par une barrière magique de pétales issue du Shikizakura-no-Ōki. L'isolement est total : seul l'empereur peut autoriser un passage. Hitaru-Ato est la plus ancienne nation encore existante.


Le Teikoku Hitarou Ato (帝国光太郎・後), connu en langue commune sous le nom de Hitaru-Ato, est un Kōtenshū — empire sacré insulaire dirigé par un souverain portant le titre de Shinkami-no-Daishisha (Grand Messager des Dieux Sacrés). Situé à l’extrême est du continent de Zaerzd, le territoire est composé d’une grande île principale et de l’île de Xouil, toutes deux ceintes par une barrière magique faite d’une tempête éternelle de pétales de fleurs. L’isolement est total : aucun étranger ne peut franchir la barrière sans la bénédiction impériale. Depuis sa fondation, le Kōtenshū a cultivé un équilibre parfait entre tradition, discipline et autosuffisance, considérant son rôle comme celui du gardien spirituel de l’harmonie universelle.

Le pays est peuplé exclusivement d’ælths libres — environ 1 100 000 individus — et d’une population d’environ 9 000 000 esclaves non recensés officiellement. Les ælths occupent toutes les positions de pouvoir, d’artisanat et de création, tandis que les esclaves assurent la force de travail physique, l’entretien des infrastructures et les tâches répétitives. L’ensemble de la vie hitarienne repose sur un système hiérarchique immuable, régi par un code d’honneur strict.

Géographie[modifier | modifier le wikicode]

Situation et isolement[modifier | modifier le wikicode]

Situé à l’extrême est du continent de Zaerzd, Hitaru‑Ato était à l’origine relié au continent par un isthme. Sur ordre de l’empereur et du Taigensha, cet isthme a été délibérément submergé afin de protéger l’archipel des influences extérieures. Depuis cette submersion, l’archipel est ceint d’une barrière de pétales : une tempête magique de fleurs qui empêche quiconque de pénétrer ou de sortir sans bénédiction impériale. Cette tempête est alimentée par le Shikizakura-no-Ōki, l’arbre sacré situé au cœur de la capitale.

Relief et paysages[modifier | modifier le wikicode]

Le territoire présente une diversité étonnante malgré sa surface limitée.

  • Nord‑Est : plaines vallonnées et prairies, terrain idéal pour les élevages et la cavalerie.
  • Nord‑Ouest : montagnes abruptes et forêts denses où s’entraînent les chevaliers noirs.
  • Centre : collines fertiles et plateaux agricoles, véritable grenier du Kōtenshū.
  • Sud : massif montagneux protégeant la capitale et renfermant des gisements miniers.
  • Île de Xouil : île méridionale au relief accidenté, utilisée comme bastion militaire et centre de formation des esclaves.
Seijijin est célèbre pour ses rues recouvertes de pétales de cerisier.

Climat[modifier | modifier le wikicode]

Hitaru-Ato bénéficie d’un climat tempéré aux quatre saisons équilibrées. Chaque transition saisonnière est marquée par un événement naturel unique : la chute des pétales du Shikizakura-no-Ōki, le Grand Arbre sacré situé au cœur de la capitale. Ses couleurs varient selon la saison :

  • Bleu : annonce l’hiver
  • Rose : annonce le printempe
  • Rouge : annonce l’été
  • Jaune : annonce l’automne

Ces pétales, portés par les vents, atteignent les régions les plus reculées de l’archipel, devenant le signal universel du changement de saison.

Capitale : Dzakyo[modifier | modifier le wikicode]

Construite au pied du Shikizakura-no-Ōki, Dzakyo est à la fois le centre politique, religieux et militaire du Kōtenshū. Son architecture associe palais monumentaux, sanctuaires aux toits recourbés et larges avenues bordées de cerisiers, conçues pour accueillir les processions impériales. Les quartiers administratifs se concentrent autour du Palais du Trône, tandis que les zones marchandes foisonnent de guildes d’artisans renommés. Les zones périphériques de la ville abritent casernes, arsenaux et entrepôts, formant une ceinture défensive autour du cœur impérial.

Le palais impérial, les ministères, les quartiers des guildes et les casernes y sont répartis en cercles concentriques autour de l’arbre sacré. Les autres centres importants incluent :

  • Shijeto : siège de la cavalerie impériale ;
  • Ejokai : forteresse des chevaliers noirs ;
  • Minarzu : principal port de la flotte à vapeur ;
  • Ayakitosimin : place forte de l’artillerie, située sur l’île de Xouil.

Autosuffisance et ressources[modifier | modifier le wikicode]

Hitaru‑Ato est totalement autosuffisant. Les terres fertiles du centre assurent la production agricole, les montagnes fournissent pierre et minerais, et les forêts livrent bois et résines rares. La pêche côtière et la maîtrise des routes maritimes intérieures garantissent l’approvisionnement en produits marins. Cette abondance a permis au Kōtenshū de se passer complètement de commerce extérieur depuis des siècles. La population se compose d’environ 1 100 000 ælths libres, soumis à la politique de l’enfant unique, et de près de 9 000 000 d’esclaves.

Histoire[modifier | modifier le wikicode]

Portrait de l’empereur Kamihikari Tennō (神光 天皇 (hit))

Origines[modifier | modifier le wikicode]

Les chroniques de Hitaru‑Ato racontent que les ælths échouèrent un jour sur d’immenses radeaux, portés par les courants marins. Ils ne se souviennent ni de leur point de départ ni de leur traversée, mais perçurent ce rivage comme un don de Néant, le dieu créateur et équilibrant. Ils décidèrent d’y fonder une civilisation nouvelle, loin des troubles du continent.

Après des générations de clans indépendants, un jeune ælth entreprit de remonter vers le nord pour interroger les dieux. Son nom s’est perdu, mais son exploit demeure : il revint après 257 ans, porteur d’un message divin. Néant l’investit du titre de Shinkami‑no‑Daishisha, « Grand Messager des Dieux », et lui confia le pouvoir de fédérer les clans. Sous son règne, la langue sacrée (Hytalyen) fut codifiée, et un premier code d’honneur fut établi.

Institution du Taigensha[modifier | modifier le wikicode]

À cette époque, une femme douée de pouvoirs élémentaires devint la première Taigensha. Capable de commander au vent, aux flots et à la mémoire des êtres, elle jura fidélité au nouvel empereur. Elle est à l’origine du rituel du Grand Oubli qui efface la mémoire des condamnés. Toujours en vie, elle continue de veiller sur l’équilibre de l’archipel et de conseiller l’empereur.

Guerre civile de Xouil[modifier | modifier le wikicode]

Les siècles suivants virent l’essor d’une société prospère mais divisée. Certains ælths se livrèrent au commerce d’esclaves avec le continent, tandis que la région de Xouil s’y opposa farouchement. La tension déboucha sur une guerre civile de quatre mois. Les rebelles furent vaincus et condamnés au Grand Oubli : exilés sur des radeaux, ils disparurent en mer. Pour prévenir leur retour et isoler l’île, le Taigensha fit s’élever les flots et submergea l’isthme reliant Hitaru‑Ato au continent.

Révolte des esclaves[modifier | modifier le wikicode]

Des années plus tard, les esclaves révoltés préparèrent une insurrection pendant vingt ans. Ils espéraient renverser l’ordre établi, mais l’armée impériale et la magie du Taigensha eurent raison d’eux. L’archipel fut de nouveau isolé : une nouvelle submersion sépara définitivement Hitaru‑Ato et Xouil du continent, et la tempête éternelle de fleurs fut invoquée pour sceller cet isolement.

Relations extérieures et légendes[modifier | modifier le wikicode]

Depuis sa fermeture, Hitaru‑Ato a très peu de contacts avec l’extérieur. La seule exception notable fut un échange diplomatique avec la Dynastie Pharo, dont les détails restent secrets. Les habitants se raccrochent à des légendes pour perpétuer leur identité : la Chanson de l’Arbre des quatre saisons retrace la naissance du monde, la quête du premier empereur est racontée comme un poème épique, et les récits des Esprits des montagnes rappellent que la nature demeure le dernier juge des actions æstiennes.

Structuration des huit régions[modifier | modifier le wikicode]

Pour éviter de nouvelles crises, l’empereur réorganisa le territoire en huit régions autonomes. Chaque province reçut une spécialité stratégique (cavalerie, flotte à vapeur, commerce maritime, logistique, chevaliers, entraînement militaire, forces spéciales, artillerie) et un gouverneur chargé de la gérer. Cette division renforça la cohésion et assura un équilibre entre le centre et les provinces.

Relations extérieures et légendes[modifier | modifier le wikicode]

Outre la Dynastie PharoHitaru-Ato vit dans un isolement total. Les habitants se raccrochent à des légendes pour perpétuer leur identité : la Chanson de l’Arbre des quatre saisons retrace la naissance du monde, la quête du premier empereur est racontée comme un poème épique, et les récits des Esprits des montagnes rappellent que la nature demeure le dernier juge des actions humaines.

Langue et écriture[modifier | modifier le wikicode]

Le Hytalyen est à la fois la langue sacrée et vernaculaire. Son système d’écriture mélange idéogrammes et signes syllabiques. Les règles de prononciation et de grammaire sont immuables. Toute variation est considérée comme une profanation. Les esclaves apprennent les rudiments du Hytalyen sur Xouil avant d’être envoyés sur l’île principale.

Religion et croyances[modifier | modifier le wikicode]

Les habitants vénèrent Néant, dieu créateur et garant de l’équilibre universel. Le culte de Néant est centralisé : l’empereur en est le messager, et le Taigensha en supervise les rites. Les temples, dépouillés, invitent à la méditation et à la contemplation du vide. Le Shikizakura-no-Ōki est perçu comme une manifestation physique de Néant : ses pétales, porteurs de couleurs saisonnières, guident la vie spirituelle.

Fêtes et cérémonies[modifier | modifier le wikicode]

  • Fêtes des saisons : quatre célébrations de dix jours chacune (printemps, été, automne, hiver). Concours d’arts, tournois martiaux et offrandes rythment ces fêtes.
  • Deuil du Grand Oubli : journée annuelle de recueillement en mémoire des morts de la guerre civile. Les participants observent le silence et déposent des bandeaux blancs au pied du Shikizakura‑no‑Ōki.
  • Rites de passage : présentation des nourrissons au temple, Épreuve du Vent à l’adolescence (résister à une tempête de pétales sans fléchir), mariages sobres où l’on partage du thé sacré.

Des rites quotidiens, tels que la salutation du Shikizakura au lever du soleil et l’offrande d’encens à Néant au crépuscule, ponctuent la vie de chaque habitant.

Structure sociale et code d’honneur[modifier | modifier le wikicode]

La société hitarienne est structurée autour de trois catégories :

  • Ælths libres : artisans, nobles et guerriers. Tous pratiquent un métier manuel et sont soumis à un code d’honneur strict.
  • Classe guerrière : samouraïs issus de la noblesse, formés aux arts martiaux, à la stratégie, à la poésie et à la musique. Ils jurent fidélité à l’empereur et au Taigensha.
  • Esclaves : main‑d’œuvre employée dans l’agriculture, l’artisanat et les travaux domestiques. Certains peuvent diriger des ateliers sous la responsabilité de leur maître, mais ils n’ont aucun droit civique.

Le code d’honneur impose loyauté, courage, sincérité et compassion. La trahison ou l’abus de pouvoir est sévèrement puni.

Arts, vie quotidienne et architecture[modifier | modifier le wikicode]

La calligraphie et la poésie sont considérées comme des arts sacrés. On trouve des poèmes gravés dans la pierre des jardins, et des estampes illustrant des scènes mythiques. La musique utilise des instruments à cordes, des flûtes et des tambours ; elle accompagne les récitations de textes sacrés et les pièces de théâtre. Les maisons sont construites en bois et en pierre, avec des toits recourbés pour canaliser le vent. Les jardins symbolisent l’harmonie cosmique : chaque rocher, bassin ou arbre y est disposé selon une signification précise. Les vêtements traditionnels sont longs et ajustés ; leurs couleurs indiquent le rang social. La cuisine est simple mais raffinée, privilégiant les produits de saison : riz, poissons, soupes et légumes marinés.

Éducation et savoir[modifier | modifier le wikicode]

L’éducation débute dès la petite enfance. Les parents enseignent les bases du Hytalyen et les rites de Néant. À partir de sept ans, les enfants sont confiés à des précepteurs qui leur apprennent lecture, mathématiques, histoire, philosophie, arts martiaux et arts du spectacle. Vers douze ans, ils choisissent une spécialisation (artisanat, érudition, service militaire ou religieux). Les esclaves reçoivent une formation élémentaire sur Xouil avant d’être affectés à leurs tâches. Les archives historiques et spirituelles sont conservées à Dzakyo, dans la grande bibliothèque impériale, et consultées par les érudits et les prêtres.

Bloc 4 — Organisation politique, militaire et rôle des huit régions[modifier | modifier le wikicode]

Autorité impériale[modifier | modifier le wikicode]

L’empereur de Hitaru‑Ato porte le titre de Shinkami‑no‑Daishisha, signifiant « Grand Messager des Dieux ». Bien qu’il délègue ses pouvoirs au quotidien, il conserve le droit d’édicter un décret céleste qui prime sur toutes les lois. Son nom personnel est secret et n’est connu que de ses proches et du Taigensha.

Rôle du Taigensha[modifier | modifier le wikicode]

Le Taigensha est à la fois conseiller de l’empereur, mage suprême et gardien des rites. Il supervise les cérémonies, veille à la pureté des rituels et peut réquisitionner tout mage pour accomplir des sortilèges majeurs. Actuellement, le Taigensha est la mère de l’empereur, immortelle depuis la fondation du Kōtenshū.

Conseils et ministères[modifier | modifier le wikicode]

L’empereur est assisté par un Conseil de onze ministres chargés des finances, de la justice, de l’agriculture, de l’armée, de la marine, de l’artisanat, des cultes, de l’éducation, des relations régionales, des travaux publics et des affaires rituelles. Un Concilium régional réunit les gouverneurs des huit régions et des délégués impériaux pour discuter des questions provinciales (ressources, conflits, travaux).

Forces armées[modifier | modifier le wikicode]

L’armée impériale représente environ 12 % de la population libre. Elle se compose de plusieurs corps :

  • cavalerie rapide (Kishi) ;
  • flotte à vapeur (Kusen) ;
  • marine traditionnelle (Hanse) ;
  • chevaliers (infanterie lourde) ;
  • unités logistiques et d’intendance (Sauneri) ;
  • écoles d’entraînement et de poliorcétique (Shasha) ;
  • chevaliers noirs (forces spéciales) ;
  • artillerie lourde (Tuho).

Les samouraïs forment l’élite de cette armée et prêtent serment à l’empereur et au Taigensha.

Justice et lois[modifier | modifier le wikicode]

Le système légal comprend trois codes : le Code des Vents (droits et devoirs des citoyens), le Code des Fontaines (gestion des ressources et du territoire) et le Code des Sabres (lois militaires). Les tribunaux régionaux traitent les affaires courantes, tandis que les crimes majeurs sont jugés à Dzakyo. L’empereur peut gracier ou condamner selon sa vision de l’équilibre.

Les huit régions[modifier | modifier le wikicode]

Les huit régions du Kōtenshū de Hitaru-Ato
Région (Chiji) Château (Shiro) Spécialité principale Localisation Rôle stratégique
Sanechika Saigo Shijeto Kishi (cavalerie) Nord-est, terres vallonnées Défense rapide et patrouilles
Akihito Yoshida Minarzu Kusen (flotte à vapeur) Côtes orientales Maîtrise navale et projection rapide
Gensouke Hori Ejokai Hanse (bateaux) Littoral nord-ouest Commerce maritime et patrouilles
Ayame Sakaone Ayando Sauneri (logistique) Région centrale fertile Production agricole et soutien logistique
Hideo Sakagura Ohajo Kishi (chevaliers) Sud-ouest montagneux Garnison d’élite, défense des cols
Takahiro Usami Nimaseto Shasha (entraînement) Centre-sud vallonné Formation des troupes et poliorcétique
Makoto Teraraf Oneda Kuroi kishi (chevaliers noirs) Nord-ouest montagneux et forestier Forces spéciales, infiltration et opérations nocturnes
Tokugawa Fujio Ayakitosimin Tuho (artillerie) Île de Xouil (sud-est) Artillerie lourde et défense côtière