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Elnastor

De Wikiquestia
Elnastor
Elnastörisches Reich (eln)
/ˈɛl.nas.tøː.rɪ.ʃəs ʁaɪç/
Royaume d’Elnastor


Gespalten, vorne in Rot, mit Hermelinschwänzen in Schwarz bestreut, hinten in Gold und Schwarz geschacht; ein goldener Pfahl belegt (eln)

Parti de gueules, semé de mouchetures d'hermine de sable, et losangé d'or et de sable, à la fasce d'or brochante

Information·s Générale·s
DevisePflicht bis tod (eln)
Le Devoir jusqu'à la mort
ContinentRingald (Continent)
Pays limitrophe·sFichier:Bannière du royaume de Cédoyin.png Cédoyin


Administration
StatutRoyaume
Capitale Oldenhorst
Langue·s officiellesElnastorien
MonnaiesElnastorërtaler
Composition Königstaaten Oldenhorst
Kreis Maardil
Kreis Nadorst
Kreis Lindo
Kreis Drahburg
Kreis Delmenburg
Kreis Brönn
Protectorat de Rinatrov
Stadtstaaten Kreuzfluß
Stadtstaaten Pstranße Am Regnerg


Géographie
ContinentRingald (Continent)
Plus grande VilleOldenhorst
Ville·s principale·sOldenhorst
Delmenburg
Rinatrov
Antburg
Lindo


Elnastor


Démographie
GentilléElnastorien·ne·s
Race·sÆstes
Population2.740.000 âmes
Langues parléesElnastorien


Histoire
541VIUnification

Entité·s précédente·s
Entité·s suivante·s
Reich Oldenhorst
Grafsch. Delmenburg
Königreich Rinatrov
Ø



Elnastor /ˈeɪl.nɑː.stɔr/, L'Empire Elnastorien en forme longue, est un État centralisé situé sur le continent de '''Ringald''', fondé il y a environ 1750 ans. Il s’agit de la plus ancienne entité politique continue connue du monde actuel. Longtemps replié sur ses frontières, l’empire s’est distingué par une tradition militaire rigoureuse, une structure fédérale fondée sur un équilibre entre pouvoir impérial et autonomie régionale, et un conservatisme culturel marqué.

Gouverné depuis la ville-reine d’Oldenhorst, siège impérial et symbole du pouvoir central, Elnastor s’est constitué à partir d’un ensemble de royaumes et de cités-États ayant progressivement accepté l’autorité d’un empereur unique. Sa structure repose sur un réseau complexe de districts, villes-États et protectorats, chacun disposant d’un degré d’autonomie plus ou moins étendu.

À son apogée, l’Empire dominait une part significative de Ringald, avant de connaître une lente érosion de son influence, marquée par la perte d’Actoria et un désintérêt croissant de son propre peuple envers le trône impérial. Malgré cela, Elnastor reste une puissance reconnue, à la stabilité relative, mais dont le rayonnement repose davantage sur le souvenir de sa grandeur passée que sur son influence contemporaine.

Histoire[modifier | modifier le wikicode]

Origines tribales[modifier | modifier le wikicode]

Avant la fondation de l’Empire, le territoire elnastorien était occupé par une multitude de tribus sédentaires dont le nombre exact demeure inconnu. Certaines se regroupaient selon des proximités géographiques, d’autres formaient des alliances temporaires par des mariages, prémices d’une structuration sociale plus stable. La notion de noblesse existait déjà sous une forme embryonnaire, portée par des lignées issues de ces unions stratégiques.

La diversité linguistique était grande, mais l’usage de l’alphabet Ælthiäm favorisa peu à peu l’émergence d’un idiome commun : l’Ælsien, langue véhiculaire unificatrice. Religieusement, ces tribus vénéraient un dieu unique, créateur de toutes choses, se manifestant à travers les phénomènes météorologiques. Ce culte, diffus mais partagé, facilita une forme de cohésion spirituelle entre les peuples.

Renwald Ier et les Lames de la Renaissance[modifier | modifier le wikicode]

L’histoire impériale débute véritablement avec Renwald Ier, fils d’un modeste forgeron né dans un village reculé des collines orientales. Alors encore jeune homme, il assista impuissant au massacre de son foyer par une tribu rivale venue de l’Est, réputée pour ses raids brutaux et ses pillages sans distinction. Animé d’un désir de vengeance, mais aussi d’un sens aigu de justice, Renwald ne se contenta pas de fuir : il entreprit de rassembler les enfants et survivants des autres villages frappés par la même terreur.

Autour de ces orphelins, il forma peu à peu un noyau de compagnons d’armes, une fratrie de fortune unie par la perte et la colère. Ce groupe devint, au fil des années, une compagnie de combat aguerrie, à la fois redoutée et admirée. Elle prit le nom de Lames de la Renaissance, en référence à leur idéal de reconstruction et de protection, mais aussi à la violence qu’ils ne refusaient pas lorsqu’elle servait une cause juste.

Renwald mena une longue campagne contre les tribus prédatrices, choisissant ses cibles avec discernement. Il ne cherchait pas la domination, mais la neutralisation des menaces. Après avoir rasé le village responsable de la destruction de sa famille, il poursuivit sa croisade contre toute faction s’attaquant aux plus faibles ou vivant de la guerre. Sa réputation grandit : à la fois vengeur, sauveur et stratège, il incarnait l’espoir d’un ordre nouveau dans une région morcelée et cruelle.

L’unification royale[modifier | modifier le wikicode]

Avec le temps, Renwald devint bien plus qu’un chef de guerre. Partout où il passait, les tribus pacifiées voyaient en lui un protecteur, un juge itinérant, un seigneur juste dans un monde ravagé par les pillages. Sa compagnie, les Lames de la Renaissance, grossissait à mesure que d’anciens ennemis déposaient les armes pour se placer sous sa bannière. Il n’imposait pas l’obéissance par la force, mais par l’exemple : celui d’un homme droit, né du sang et du feu, mais toujours guidé par l’idée d’un ordre supérieur.

À mesure que son influence s’étendait, Renwald comprit qu’il ne pouvait plus diriger une armée mouvante sans un centre stable. Il fit alors bâtir une ville fortifiée au sommet d’une haute colline boisée, où couvaient autrefois les aigles anciens. Le site, stratégique et symbolique, surplombait les terres centrales, et fut rapidement perçu comme le cœur du renouveau tribal. On la nomma Delmenhorst, soit le vieux nid, en mémoire de ce lieu d’altitude, ancien, oublié, devenu berceau d’un nouvel espoir.

C’est depuis cette citadelle que Renwald consolida son autorité. Il établit un conseil, organisa des délégations entre chefs tribaux, fit ouvrir des routes entre les villages. Delmenhorst devint non seulement un centre militaire, mais aussi un lieu de médiation et de légitimation, où l’on venait chercher justice ou sceller des pactes.

Peu après la fondation de la ville, une menace inattendue émergea : une invasion venue d’au-delà de la mer, menée par les Orcks, peuples belliqueux aux coutumes étrangères, semant le chaos sur les rivages méridionaux. Face à ce danger, Renwald n’hésita pas. Il convoqua une assemblée des clans, les exhortant à cesser leurs querelles et à s’unir contre l’envahisseur. Ce fut la première fois que toutes les tribus majeures marchèrent ensemble sous un même étendard.

Tengwald Ier guidant ses troupes vers la victoire lors de la campagne contre les Orcks.

La guerre fut longue, brutale, mais victorieuse. Grâce à son génie tactique et à une discipline nouvelle imposée à ses troupes, Renwald réussit à repousser les Orcks, puis à les faire reculer jusqu’à leurs navires, qu’il fit brûler dans un dernier affront symbolique.

À son retour, les tribus, d’une seule voix, l’acclamèrent roi des peuples unifiés. Ce couronnement, tenu dans l’enceinte même de Delmenhorst, marqua la naissance du premier royaume centralisé de ce qui deviendrait plus tard l’Empire Elnastorien.

Proclamation impériale sous Däniald II[modifier | modifier le wikicode]

Plusieurs générations plus tard, après la mort sans héritier de Fandarwald, une nouvelle guerre éclata entre Delmenhorst et Rinatrov, royaume voisin aux influences æstiennes et naines. Ce conflit, connu sous le nom de guerre des Terres Froides, opposa une alliance conduite par Däniald II à une coalition rassemblant Rinatrov, Delmenburg et Oldenhorst.

La bataille décisive eut lieu près d’un vaste lac. La victoire de Däniald II fut telle qu’il fut proclamé Empereur d’Elnastor, nom tiré du lac en question. Pour garantir la stabilité post-conflit, les royaumes vaincus conservèrent leurs titres, fondant une structure impériale souple mais hiérarchisée.

Le nouvel Empire se dota d’un système politique dans lequel les Princes-Électeurs des principales régions conservaient un pouvoir important, notamment celui d’élire les ministres impériaux.

Âge d’or et isolement impérial[modifier | modifier le wikicode]

Après la proclamation de l’Empire sous Däniald II, l’Elnastor entre dans une ère de stabilité politique prolongée. Les conflits internes sont rares, les réformes limitées, et la structure fédérale — appuyée par les Princes-Électeurs — suffit à maintenir l’équilibre des pouvoirs. Cette stabilité favorise une forme de paix durable, mais au prix d’un repli diplomatique et culturel.

Durant plusieurs siècles, l’Empire entretient peu de liens avec ses voisins. Les échanges commerciaux s’amoindrissent, les influences extérieures sont marginalisées, et les institutions s’enracinent dans des traditions de plus en plus rigides. Cette période d’isolement contrôlé, parfois qualifiée de « paix dormante », favorise l’émergence d’un appareil militaire robuste, mais déconnecté des évolutions extérieures du continent.

La guerre contre Cédoyin et Walland[modifier | modifier le wikicode]

La paix impériale prend fin brutalement lorsque deux puissances voisines, Cédoyin à l’ouest et Walland au nord, lancent une invasion coordonnée du territoire elnastorien. Ce conflit, l’un des plus sanglants de l’histoire de l’Empire, met à l’épreuve les capacités stratégiques et logistiques des forces impériales.

Malgré une offensive initiale difficile, Elnastor parvient à renverser la situation et remporte une victoire décisive. À l’issue de la guerre, l’Empire annexe plusieurs régions stratégiques : Lindo, Nadorst, Drahburg et Brönn. Ces territoires, auparavant extérieurs au noyau impérial, deviennent des districts intégrés dans la structure politique d’Elnastor.

Cette guerre réaffirme la puissance militaire de l’Empire, mais elle marque aussi le dernier grand élan territorial de son histoire. Les pertes humaines, économiques et symboliques sont telles que le pays entre peu après dans une nouvelle période de crispation.

La révolte paysanne de Rinatrov[modifier | modifier le wikicode]

Des décennies après la guerre, un soulèvement paysan éclate dans le Protectorat de Rinatrov, région historiquement marginalisée et culturellement distincte. Cette révolte, rapidement matée en moins d’une année, est l’un des rares mouvements populaires organisés ayant menacé l’ordre impérial de l’intérieur.

Les chefs de la révolte sont capturés et condamnés à mort, envoyant un signal fort à toute velléité de rébellion. En réaction, le pouvoir impérial sépare Maardil d’Oldenhorst afin de faciliter la gestion administrative et renforcer le contrôle militaire dans cette zone sensible.

Cet épisode marque une césure entre l’Empire et sa population rurale, creusant un fossé social durable entre les élites et les classes populaires.

L’âge sombre et les réformes de Quewald XI[modifier | modifier le wikicode]

Dans les siècles qui suivent la répression de la révolte paysanne, l’Empire entre dans ce que les chroniqueurs nomment communément l’âge sombre impérial. Si la paix est maintenue, elle repose désormais sur une armée surdimensionnée sans ennemi extérieur et une population en croissance, concentrée dans des régions suradministrées et figées.

L’isolement du pays, couplé à un conservatisme rigide, engendre un profond déclin culturel. Les arts stagnent, les doctrines religieuses se ferment, et la société se fige dans des coutumes déconnectées du monde extérieur.

C’est dans ce contexte que monte sur le trône l’Empereur Quewald XI, figure lucide et controversée. Refusant une expansion militaire classique, il constate que l’annexion de nouveaux territoires ne garantirait aucune stabilité durable. Plutôt que de déclencher un conflit contre des voisins déjà affaiblis, il prend une décision inédite : ouvrir les frontières commerciales.

Parmi tous les royaumes contactés, seul Walland, également fragilisé par une crise interne, accepte cette main tendue. Ensemble, les deux puissances élaborent un projet d’expédition maritime vers Kar Droûst, territoire encore inexploré situé au-delà de l’ouest continental.

La découverte d’Actoria[modifier | modifier le wikicode]

L’expédition lancée conjointement par Elnastor et Walland prend la mer avec l’intention de rallier Kar Droûst. Toutefois, une série d’erreurs de navigation, amplifiées par des conditions climatiques extrêmes, détourne les navires de leur trajectoire initiale. L’équipage découvre alors un nouveau continent inconnu, situé bien plus au nord : l’Actoria.

Cette découverte déclenche une nouvelle fièvre impériale. Colonies, avant-postes et comptoirs commerciaux sont rapidement établis, marquant une période brève d’expansion maritime et d’espoir. Mais l’aventure tourne court. Une guerre civile éclate parmi les colons, et la métropole ne parvient pas à rétablir l’ordre à distance.

Après plusieurs décennies d’instabilité, Actoria proclame son indépendance. Pour l’Empire Elnastorien, cette perte est bien plus qu’un revers territorial : elle scelle la fin de toute ambition impériale extérieure, et marque le début d’un lent repli stratégique.

L’époque contemporaine sous Tengwald IV[modifier | modifier le wikicode]

L’Empire entre dans l’ère contemporaine affaibli mais stable. Bien qu’il conserve une armée puissante et des institutions rigoureuses, il ne domine plus le continent, ni par la force, ni par l’influence.

Le trône est aujourd’hui occupé par Tengwald IV d’Oldenhorst, souverain peu charismatique, perçu par son peuple avec indifférence plus que loyauté. Le respect dont il jouit repose presque exclusivement sur l’habitude du pouvoir impérial et la crainte d’un appareil militaire omniprésent.

Elnastor n’est plus qu’un reflet de lui-même : une puissance historique aux contours bien définis, mais dont l’élan et la ferveur ont disparu. La paix y règne, mais elle est tiède, et l’avenir reste incertain — suspendu entre mémoire de la grandeur passée et usure d’un pouvoir sans passion.

Organisation territoriale[modifier | modifier le wikicode]

L’Empire Elnastorien est un État fédéral complexe, structuré autour d’un noyau impérial central — la ville-reine d’Oldenhorst — auquel sont rattachées différentes entités territoriales aux statuts variables. Ce découpage est le fruit d’une histoire marquée par l’unification progressive de royaumes, de districts autonomes et de cités-États, certains intégrés par conquête, d’autres par traité ou compromis politique.

Le territoire impérial est divisé en trois grandes catégories :

Ville-Reine (Königstaaten)[modifier | modifier le wikicode]

Oldenhorst, également appelée la Ville-Reine, constitue le cœur politique de l’Empire. Elle bénéficie d’un statut unique, indépendant de tout district, et abrite le trône impérial. Tous les autres territoires prêtent allégeance à Oldenhorst, mais conservent une autonomie administrative propre.

Districts (Kreis)[modifier | modifier le wikicode]

Les districts forment l’épine dorsale du territoire impérial. Ils sont dirigés par des gouverneurs nobles ou des conseils régionaux, certains issus de familles princières.

  • Delmenburg – Terre d’origine de la dynastie impériale, historiquement influente.
  • Maardil – Séparé administrativement d’Oldenhorst après la révolte paysanne.
  • Lindo – Frontière occidentale, jadis territoire de Cédoyin.
  • Nadorst, Drahburg, Brönn – Anciens territoires conquis après la guerre contre Cédoyin et Walland.

Chaque district possède une capitale propre, une juridiction fiscale et militaire partiellement autonome, ainsi que des armoiries distinctes. Certains abritent des sièges princiers disposant d’un droit électoral au sein du collège impérial.

Villes-États (Stadtstaaten)[modifier | modifier le wikicode]

Les villes-États disposent d’une forte autonomie, souvent liée à leur histoire particulière ou à leur importance commerciale.

  • Kreuzfluß – Contrôle un carrefour fluvial stratégique entre la Tiefkühn et le Dir ; son indépendance fut reconnue après la construction du Mischakanal.
  • Pstranße sur Regnerg – Ancienne enclave rinatrienne au nord, restée fidèle à l’Empereur Gismard VIII lors de la grande unification. Elle est la seule ville-État de langue majoritairement rinatrienne.

Ces cités disposent de leur propre milice, de conseils marchands puissants, et d’accords directs avec le pouvoir impérial. Elles participent aux affaires impériales via des représentants, mais ne sont rattachées à aucun district.

Protectorats (Schutzgebiete)[modifier | modifier le wikicode]

Rinatrov (Protectorat) constitue une entité particulière : il s’agit d’un territoire historiquement indépendant, intégré de force à l’Empire après la guerre des Terres Froides. Bien que régi par des gouverneurs impériaux, Rinatrov conserve des spécificités culturelles fortes, notamment une langue, une architecture et une tradition religieuse distinctes. C’est dans ce territoire qu’a éclaté la révolte paysanne la plus importante de l’histoire récente.

Topographie[modifier | modifier le wikicode]

L’Empire Elnastorien est structuré autour d’un territoire central contrasté, où les vallées fluviales définissent aussi bien les frontières politiques que les axes économiques et zones d’influence historique. La carte du pays révèle une organisation en trois grands espaces hydrographiques : le nord compartimenté, le sud méridional orienté vers l’Océan Molmin, et un centre structuré par la colonne vertébrale du Stig.

La ligne du Stig — Axe central et frontière ouest[modifier | modifier le wikicode]

Le fleuve Stig, qui court du sud-est vers le nord-ouest, constitue la colonne vertébrale hydrologique et politique de l’ouest impérial. Il marque la frontière naturelle avec Cédoyïn, et se découpe en trois tronçons principaux visibles sur la carte :

  • Ober-Stig (sud-ouest) – dans une zone plus montagneuse,
  • Mittel-Stig – reçoit les eaux du Langefluß, serpentant au sud-est du pays,
  • Nieder-Stig – reçoit le Reininn, et s’écoule vers les terres nordiques.

Ces trois branches encadrent des territoires à fort enjeu stratégique. Le Stig reste l’un des seuls fleuves visibles qui traverse horizontalement l’Empire.

Le Sud maritime — Nœud fluvial de Kreuzfluß[modifier | modifier le wikicode]

Dans le sud du pays, le fleuve Dir structure l’économie littorale. Il est scindé en deux bras par la ville-État de Kreuzfluß :

  • Westdir – au sud-ouest, bordant une région basse et orientée vers la mer,
  • Ostdir – s’étend vers l’est, traversant un territoire plus découpé.

Le Tiefkühn, arrivant du nord-est, croise l’Ostdir à proximité de Kreuzfluß. L’ensemble de ce carrefour fluvial est maîtrisé par le Mischakanal, canal artificiel qui permet une jonction logistique entre ces trois cours d’eau. Ce point de croisement est la plaque tournante maritime de l’Empire, avec accès facilité à l’Océan Molmin.

Le Nord segmenté — Hydrologie éclatée autour de Pstranße[modifier | modifier le wikicode]

Le Nord segmenté — Hydrologie éclatée autour de Pstranße

Au nord-est du pays se déploie un réseau plus fragmenté, structuré autour de la ville-État de Pstranße sur Regnerg. On y distingue clairement :

  • La Doultcha, au nord-est,
  • Le Tlorn, au sud-est (en voie d’assèchement),
  • Le Podentla, à l’ouest,
  • L’Unheimfluß, plus central, descendant vers le sud.

Historiquement, ces fleuves étaient réunis en deux entités :

  • le Regnerg (ancien cours de la Doultcha + Tlorn),
  • le Tabaeld (Podentla + Unheimfluß).

Pstranße a conservé la mémoire de ces confluences disparues en instaurant un réseau d’écoulement artificiel et de dérivation des eaux, renforçant sa résilience écologique et politique. La carte suggère une forte activité humaine dans cette zone, avec des digues, canaux et bassins de régulation.

Lecture héraldique[modifier | modifier le wikicode]

District de Maardil (Kreis Maardil)[modifier | modifier le wikicode]

Ancien district d'Oldenhorst, celui-ci a été séparé de la capitale pour une gestion plus simple après la révolte Paysanne de X. Le district partage avec la capitale certains points comuns avec Oldenhorst (couleur et hermines)

Sa capitale est Altburg.

  • Henburg
  • Schlernhof
  • Otzenrath
  • Ürknal
  • Weinwald
  • Altburg
  • Tyßendorf
  • Horno am Rot

District de Delmenburg (Kreis Delmenburg)[modifier | modifier le wikicode]

Delmenburg fut pendant longtemps le pays le plus puissant de la région. La dynastie Oldenhorst est originaire de cette région, une fois l'Empire installé, le Roi Renwald II, offre la gouvernance de son état à la branche Delmenburg de sa famille, puis se fait courroner empereur.

C'est pour cette raison que ces armoiries se retrouvent sur le blason de l'Empire.

  • Kreuzberg
  • Nitzerg
  • Braam
  • Delmenburg
  • Delmenberg
  • Kaltfeld
  • Ost-Dämmerung
  • Altiefberg

District de Nadorst (Kreis Nadorst)[modifier | modifier le wikicode]

  • Schwarz-Schloß
  • Neustadt am Stig
  • Nadorst
  • Reininn

District de Lindo (Kreis Lindo)[modifier | modifier le wikicode]

État frontière avec Cédoyïn, ce dernier partage

District de Nadorst (Kreis Nadorst)

District de Drahburg (Kreis Drahburg)

District de Brönn (Kreis Brönn)

  • Nidherz
  • Lindo
  • Lapan
  • Westweißberg

District de Drahburg (Kreis Drahburg)[modifier | modifier le wikicode]

  • Drahburg
  • Goldtal
  • Weißberg

District de Brönn (Kreis Brönn)[modifier | modifier le wikicode]

  • Münster
  • Brönn
  • Hausesteigen

Protectorat de Rinatrov (Schutzgebiete Rinatrov / Протекторат Ринатрова)[modifier | modifier le wikicode]

Le protectorat de Rinatrov dispose d'un statut particulier au sein de l'empire. Il s'agit du dernier territoire soumis ou se concentre une fort

  • Rinatrov
  • Belgegrov
  • Gorod Styr
  • Drilitrinov
  • Ernstein
  • Mainstok
  • Voldingrad