« Elnastor » : différence entre les versions
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Version du 28 juin 2025 à 17:57

| Devise | Pflicht bis tod (eln) Le Devoir jusqu'à la mort |
|---|---|
| Continent | Ringald (Continent) |
| Pays limitrophe·s | Fichier:Bannière du royaume de Cédoyin.png Cédoyin |
| Statut | Royaume |
|---|---|
| Capitale | |
| Langue·s officielles | Elnastorien |
| Monnaies | Elnastorërtaler |
| Composition |
| Continent | Ringald (Continent) |
|---|---|
| Plus grande Ville | Oldenhorst |
| Ville·s principale·s | Oldenhorst Delmenburg Rinatrov Antburg Lindo |
| Gentillé | Elnastorien·ne·s |
|---|---|
| Race·s | Æstes |
| Population | 2.740.000 âmes |
| Langues parlées | Elnastorien |
| 541VI | Unification |
|---|
Elnastor /ˈeɪl.nɑː.stɔr/, L'Empire Elnastorien en forme longue, est un État centralisé situé sur le continent de Ringald, fondé il y a environ 1750 ans. Il s’agit de la plus ancienne entité politique continue connue du monde actuel. Longtemps replié sur ses frontières, l’empire s’est distingué par une tradition militaire rigoureuse, une structure fédérale fondée sur un équilibre entre pouvoir impérial et autonomie régionale, et un conservatisme culturel marqué.
Gouverné depuis la ville-reine d’Oldenhorst, siège impérial et symbole du pouvoir central, Elnastor s’est constitué à partir d’un ensemble de royaumes et de cités-États ayant progressivement accepté l’autorité d’un empereur unique. Sa structure repose sur un réseau complexe de districts, villes-États et protectorats, chacun disposant d’un degré d’autonomie plus ou moins étendu.
À son apogée, l’Empire dominait une part significative de Ringald, avant de connaître une lente érosion de son influence, marquée par la perte d’Actoria et un désintérêt croissant de son propre peuple envers le trône impérial. Malgré cela, Elnastor reste une puissance reconnue, à la stabilité relative, mais dont le rayonnement repose davantage sur le souvenir de sa grandeur passée que sur son influence contemporaine.
Histoire
Origines tribales
Avant la fondation de l’Empire, le territoire elnastorien était occupé par une multitude de tribus sédentaires dont le nombre exact demeure inconnu. Certaines se regroupaient selon des proximités géographiques, d’autres formaient des alliances temporaires par des mariages, prémices d’une structuration sociale plus stable. La notion de noblesse existait déjà sous une forme embryonnaire, portée par des lignées issues de ces unions stratégiques.
La diversité linguistique était grande, mais l’usage de l’alphabet Ælthiäm favorisa peu à peu l’émergence d’un idiome commun : l’Ælsien, langue véhiculaire unificatrice. Religieusement, ces tribus vénéraient un dieu unique, créateur de toutes choses, se manifestant à travers les phénomènes météorologiques. Ce culte, diffus mais partagé, facilita une forme de cohésion spirituelle entre les peuples.
Renwald Ier et les Lames de la Renaissance
L’histoire impériale débute véritablement avec Renwald Ier, fils de forgeron dont le village fut massacré par une tribu venue de l’Est. Animé d’un désir de vengeance, Renwald rassembla les enfants survivants d’autres villages pillés et forma autour d’eux une compagnie qui devint, au fil des ans, une force armée redoutée : les Lames de la Renaissance.
Renwald mena une campagne contre les tribus prédatrices, gagnant en réputation et en légitimité. Après avoir rasé le village responsable du massacre initial, il poursuivit sa croisade contre toute faction s’attaquant aux plus faibles. Fort de son prestige, il fonda sa propre cité sur les hauteurs d’une colline boisée, où nichaient autrefois les aigles anciens.
L’unification royale
Avec le temps, Renwald devint le point de ralliement des tribus pacifiées. Lors d’une invasion venue d’au-delà de la mer, menée par les Orcks, il forma un host tribal unifié pour repousser la menace. À l’issue de cette guerre, il fut acclamé roi des tribus, posant les premières fondations du royaume de Delmenhorst — nom tiré de la ville perchée qu’il avait érigée, signifiant « le vieux nid ».
Proclamation impériale sous Däniald II
Plusieurs générations plus tard, après la mort sans héritier de Fandarwald, une nouvelle guerre éclata entre Delmenhorst et Rinatrov, royaume voisin aux influences æstiennes et naines. Ce conflit, connu sous le nom de guerre des Terres Froides, opposa une alliance conduite par Däniald II à une coalition rassemblant Rinatrov, Delmenburg et Oldenhorst.
La bataille décisive eut lieu près d’un vaste lac. La victoire de Däniald II fut telle qu’il fut proclamé Empereur d’Elnastor, nom tiré du lac en question. Pour garantir la stabilité post-conflit, les royaumes vaincus conservèrent leurs titres, fondant une structure impériale souple mais hiérarchisée.
Le nouvel Empire se dota d’un système politique dans lequel les Princes-Électeurs des principales régions conservaient un pouvoir important, notamment celui d’élire les ministres impériaux.
Âge d’or et isolement impérial
Après la proclamation de l’Empire sous Däniald II, l’Elnastor entre dans une ère de stabilité politique prolongée. Les conflits internes sont rares, les réformes limitées, et la structure fédérale — appuyée par les Princes-Électeurs — suffit à maintenir l’équilibre des pouvoirs. Cette stabilité favorise une forme de paix durable, mais au prix d’un repli diplomatique et culturel.
Durant plusieurs siècles, l’Empire entretient peu de liens avec ses voisins. Les échanges commerciaux s’amoindrissent, les influences extérieures sont marginalisées, et les institutions s’enracinent dans des traditions de plus en plus rigides. Cette période d’isolement contrôlé, parfois qualifiée de « paix dormante », favorise l’émergence d’un appareil militaire robuste, mais déconnecté des évolutions extérieures du continent.
La guerre contre Cédoyin et Walland
La paix impériale prend fin brutalement lorsque deux puissances voisines, Cédoyin à l’ouest et Walland au nord, lancent une invasion coordonnée du territoire elnastorien. Ce conflit, l’un des plus sanglants de l’histoire de l’Empire, met à l’épreuve les capacités stratégiques et logistiques des forces impériales.
Malgré une offensive initiale difficile, Elnastor parvient à renverser la situation et remporte une victoire décisive. À l’issue de la guerre, l’Empire annexe plusieurs régions stratégiques : Lindo, Nadorst, Drahburg et Brönn. Ces territoires, auparavant extérieurs au noyau impérial, deviennent des districts intégrés dans la structure politique d’Elnastor.
Cette guerre réaffirme la puissance militaire de l’Empire, mais elle marque aussi le dernier grand élan territorial de son histoire. Les pertes humaines, économiques et symboliques sont telles que le pays entre peu après dans une nouvelle période de crispation.
La révolte paysanne de Rinatrov
Des décennies après la guerre, un soulèvement paysan éclate dans le Protectorat de Rinatrov, région historiquement marginalisée et culturellement distincte. Cette révolte, rapidement matée en moins d’une année, est l’un des rares mouvements populaires organisés ayant menacé l’ordre impérial de l’intérieur.
Les chefs de la révolte sont capturés et condamnés à mort, envoyant un signal fort à toute velléité de rébellion. En réaction, le pouvoir impérial sépare Maardil d’Oldenhorst afin de faciliter la gestion administrative et renforcer le contrôle militaire dans cette zone sensible.
Cet épisode marque une césure entre l’Empire et sa population rurale, creusant un fossé social durable entre les élites et les classes populaires.
L’âge sombre et les réformes de Quewald XI
Dans les siècles qui suivent la répression de la révolte paysanne, l’Empire entre dans ce que les chroniqueurs nomment communément l’âge sombre impérial. Si la paix est maintenue, elle repose désormais sur une armée surdimensionnée sans ennemi extérieur et une population en croissance, concentrée dans des régions suradministrées et figées.
L’isolement du pays, couplé à un conservatisme rigide, engendre un profond déclin culturel. Les arts stagnent, les doctrines religieuses se ferment, et la société se fige dans des coutumes déconnectées du monde extérieur.
C’est dans ce contexte que monte sur le trône l’Empereur Quewald XI, figure lucide et controversée. Refusant une expansion militaire classique, il constate que l’annexion de nouveaux territoires ne garantirait aucune stabilité durable. Plutôt que de déclencher un conflit contre des voisins déjà affaiblis, il prend une décision inédite : ouvrir les frontières commerciales.
Parmi tous les royaumes contactés, seul Walland, également fragilisé par une crise interne, accepte cette main tendue. Ensemble, les deux puissances élaborent un projet d’expédition maritime vers Kar Droûst, territoire encore inexploré situé au-delà de l’ouest continental.
La découverte d’Actoria
L’expédition lancée conjointement par Elnastor et Walland prend la mer avec l’intention de rallier Kar Droûst. Toutefois, une série d’erreurs de navigation, amplifiées par des conditions climatiques extrêmes, détourne les navires de leur trajectoire initiale. L’équipage découvre alors un nouveau continent inconnu, situé bien plus au nord : l’Actoria.
Cette découverte déclenche une nouvelle fièvre impériale. Colonies, avant-postes et comptoirs commerciaux sont rapidement établis, marquant une période brève d’expansion maritime et d’espoir. Mais l’aventure tourne court. Une guerre civile éclate parmi les colons, et la métropole ne parvient pas à rétablir l’ordre à distance.
Après plusieurs décennies d’instabilité, Actoria proclame son indépendance. Pour l’Empire Elnastorien, cette perte est bien plus qu’un revers territorial : elle scelle la fin de toute ambition impériale extérieure, et marque le début d’un lent repli stratégique.
L’époque contemporaine sous Tengwald IV
L’Empire entre dans l’ère contemporaine affaibli mais stable. Bien qu’il conserve une armée puissante et des institutions rigoureuses, il ne domine plus le continent, ni par la force, ni par l’influence.
Le trône est aujourd’hui occupé par Tengwald IV d’Oldenhorst, souverain peu charismatique, perçu par son peuple avec indifférence plus que loyauté. Le respect dont il jouit repose presque exclusivement sur l’habitude du pouvoir impérial et la crainte d’un appareil militaire omniprésent.
Elnastor n’est plus qu’un reflet de lui-même : une puissance historique aux contours bien définis, mais dont l’élan et la ferveur ont disparu. La paix y règne, mais elle est tiède, et l’avenir reste incertain — suspendu entre mémoire de la grandeur passée et usure d’un pouvoir sans passion.
Organisation territoriale
L’Empire Elnastorien est un État fédéral complexe, structuré autour d’un noyau impérial central — la ville-reine d’Oldenhorst — auquel sont rattachées différentes entités territoriales aux statuts variables. Ce découpage est le fruit d’une histoire marquée par l’unification progressive de royaumes, de districts autonomes et de cités-États, certains intégrés par conquête, d’autres par traité ou compromis politique.
Le territoire impérial est divisé en trois grandes catégories :
Ville-Reine (Königstaaten)
Oldenhorst, également appelée la Ville-Reine, constitue le cœur politique de l’Empire. Elle bénéficie d’un statut unique, indépendant de tout district, et abrite le trône impérial. Tous les autres territoires prêtent allégeance à Oldenhorst, mais conservent une autonomie administrative propre.
Districts (Kreis)
Les districts forment l’épine dorsale du territoire impérial. Ils sont dirigés par des gouverneurs nobles ou des conseils régionaux, certains issus de familles princières.
Maardil – Séparé administrativement d’Oldenhorst après la révolte paysanne.
Lindo – Frontière occidentale, jadis territoire de Cédoyin.
Nadorst,
Drahburg,
Brönn – Anciens territoires conquis après la guerre contre Cédoyin et Walland.
Chaque district possède une capitale propre, une juridiction fiscale et militaire partiellement autonome, ainsi que des armoiries distinctes. Certains abritent des sièges princiers disposant d’un droit électoral au sein du collège impérial.
Villes-États (Stadtstaaten)
Les villes-États disposent d’une forte autonomie, souvent liée à leur histoire particulière ou à leur importance commerciale.
Kreuzfluß – Contrôle un carrefour fluvial stratégique entre la Tiefkühn et le Dir ; son indépendance fut reconnue après la construction du Mischakanal.
Pstranße sur Regnerg – Ancienne enclave rinatrienne au nord, restée fidèle à l’Empereur Gismard VIII lors de la grande unification. Elle est la seule ville-État de langue majoritairement rinatrienne.
Ces cités disposent de leur propre milice, de conseils marchands puissants, et d’accords directs avec le pouvoir impérial. Elles participent aux affaires impériales via des représentants, mais ne sont rattachées à aucun district.
Protectorats (Schutzgebiete)

Le Protectorat de Rinatrov constitue une entité particulière : il s’agit d’un territoire historiquement indépendant, intégré de force à l’Empire après la guerre des Terres Froides. Bien que régi par des gouverneurs impériaux, Rinatrov conserve des spécificités culturelles fortes, notamment une langue, une architecture et une tradition religieuse distinctes. C’est dans ce territoire qu’a éclaté la révolte paysanne la plus importante de l’histoire récente.
Ville-Reine d’Oldenhorst (Königstaaten Oldenhorst)
|
Villes-États (Stadtstaaten)
| Kreuzfluß | Pstranße sur Regnerg |
|---|---|
| D'argent au sautoir d'or surmonté d'azur à la croix pointée d'argent | D'argent au sautoir d'or surmonté de bandes d'azur au losange du même |
- Ville Reine d'Oldenhorst - au centre ouest-sud
- District de Maardil — au sud-ouest
- District de Lindo - à l'ouest
- District de Nadorst — au nord-ouest
- District de Drahburg — au nord
- Ville-État de Pstranße sur Regnerg — enclavée à la frontière nord entre Drahburg et Brönn
- District de Brönn — au nord-est
- District de Delmenburg - à l'est
- Protectorat de Rinatrov — au sud-est
- Ville-État de Kreuzburg — enclavée à l'ouest de Rinatrov
District de Maardil (Kreis Maardil)

Ancien district d'Oldenhorst, celui-ci a été séparé de la capitale pour une gestion plus simple après la révolte Paysanne de X. Le district partage avec la capitale certains points comuns avec Oldenhorst (couleur et hermines)
Sa capitale est Altburg.
- Henburg
- Schlernhof
- Otzenrath
- Ürknal
- Weinwald
- Altburg
- Tyßendorf
- Horno am Rot
District de Delmenburg (Kreis Delmenburg)

Delmenburg fut pendant longtemps le pays le plus puissant de la région. La dynastie Oldenhorst est originaire de cette région, une fois l'Empire installé, le Roi Renwald II, offre la gouvernance de son état à la branche Delmenburg de sa famille, puis se fait courroner empereur.
C'est pour cette raison que ces armoiries se retrouvent sur le blason de l'Empire.
- Kreuzberg
- Nitzerg
- Braam
- Delmenburg
- Delmenberg
- Kaltfeld
- Ost-Dämmerung
- Altiefberg
District de Nadorst (Kreis Nadorst)

- Schwarz-Schloß
- Neustadt am Stig
- Nadorst
- Reininn
District de Lindo (Kreis Lindo)

État frontière avec Cédoyïn, ce dernier partage
District de Nadorst (Kreis Nadorst)
District de Drahburg (Kreis Drahburg)
District de Brönn (Kreis Brönn)
- Nidherz
- Lindo
- Lapan
- Westweißberg

District de Drahburg (Kreis Drahburg)
- Drahburg
- Goldtal
- Weißberg
District de Brönn (Kreis Brönn)

- Münster
- Brönn
- Hausesteigen
Ville-État de Kreuzfluß (Stadtstaaten Kreuzfluß)

Première ville état de l'empire, Kreuzfluß tire sa richesse de sa position géographique avantageuse. Comme Pstranße sur Regnerg, la ville est à la croisée de deux fleuves : la Tiefkühn et le Dir (séparée respectivement en Westdir à l'ouest et Ostdir à l'est). Le Mischakanal a été construit sur plusieurs années afin de permettre un à la ville un accès plus rapide à l'Océan Molmin.
Bien qu'éloignée de sa ville jumelle : Pstranße sur Regnerg, les deux villes gardent une grande proximité.
D'argent au sautoir d'or surmonté d'azur à la croix pointée d'argent
Ville-État de Pstranße sur Regnerg (Stadtstaaten Pstranße am Regnerg / Город-государство Пстрансе на Регнерге)

Seconde et plus ancienne ville état d'Elnastor, Pstranße sur Regnerg est une ville à la croisée de deux fleuves : l'Unheimfluß dans lequel se jettent la Podentla et la Doultcha. Le fleuve Tlorn quant à lui, tent à s'assécher naturellement avec le temps. Le Prince Grégor le Riche fit raccourcir l'un des pâles du blason pour cette raison.
Même si le nom du fleuve dominant, Regnerg n'est plus en usage, la ville conserve la mémoire de celui-ci dans son héritage.
La ville fut pendant longtemps un bastion Rinatrien perdu au Nord, entouré d'états Elnastoriens.
La ville à su négocier un statut semi-indépendant en ralliant la cause de l'Empereur Gismard VIII lors de la conquête du territoire (La grande unification) en menant des raids inversés sur le territoire en passant par le détroit de Koäliß. Elle est la seule ville ville-état de langue Rinatrienne de l'Empire. D'argent au sautoir d'or surmonté de bandes d'azur au losange du même
Protectorat de Rinatrov (Schutzgebiete Rinatrov / Протекторат Ринатрова)
Le protectorat de Rinatrov dispose d'un statut particulier au sein de l'empire. Il s'agit du dernier territoire soumis ou se concentre une fort
- Rinatrov
- Belgegrov
- Gorod Styr
- Drilitrinov
- Ernstein
- Mainstok
- Voldingrad
Topographie

Rivières et fleuves
Elnastor est séparée de Cédoyïn (du reste du continent) par le fleuve Stig. Ce dernier est découpé en trois sous fleuves à chacun des deux croisements qu'il rencontre :
- Nieder-Stig
- à la croisée du fleuve Reininn
- Mittel-Stig
- à la croisée du fleuve Langefluß
- Ober-Stig
Au sud se trouve le fleuve Dir, séparée en deux par la ville de Kreuzfluß. Westdir à l'ouest et Ostdir à l'est. Le fleuve rencontre un troisi§me / Tiefkühn au nord. Le Mischakanal, est comme son nom l'indique un canal artificiel crée afin de mettre la ville au centre de quatre points d'entrés maritime,
Au nord, se trouve également quatre fleuves :
- La Doultcha au nord
- Le Podentla à l'ouest
- Le Tlorn à l'est
- l'Unheimfluß au sud
À l'origine, la Doultcha et Tlorn ne formaient qu'un fleuve du nom de Regnerg, de même pour Podentla et Unheimfluß (dont l'ancien nom est Tabaeld). La ville de Pstranße sur Regnerg créa un réseau complet de circulation des eaux (à l'image de Kreuzfluß).
Au fil debs ans, le nouveau fleuve Tlorn s'assèche et serait amené à disparaître d'ici aux prochaines années.







